J'ai lu le livre "Transurfing – Modèlequantique de développement personnel Tome 1 : L’espace des variantes" de Vadim Zeland et je l'ai trouvé hyper méga intéressant !
Il met en lien les expériences que j'ai pu faire ces dernières années et mes lectures sur l'existence d'un champ d'information, base d'un nouveau paradigme scientifique. Le livre d'Ervin Laszlo explique en quoi cette théorie du champ d'information tient la route et ce livre de Vadim Zeland nous montre comment fonctionne ce champ et comment nos pensées-énergie mentale- interfèrent avec ce champ en décrivant les liens de causes-effets entre nos attitudes et ce qu'il nous arrive dans notre vie.
Il met en lien les expériences que j'ai pu faire ces dernières années et mes lectures sur l'existence d'un champ d'information, base d'un nouveau paradigme scientifique. Le livre d'Ervin Laszlo explique en quoi cette théorie du champ d'information tient la route et ce livre de Vadim Zeland nous montre comment fonctionne ce champ et comment nos pensées-énergie mentale- interfèrent avec ce champ en décrivant les liens de causes-effets entre nos attitudes et ce qu'il nous arrive dans notre vie.
J'ai rédigé un résumé de ce livre, avec trois ou quatre annotations. Je n'en suis pas complètement satisfaite mais en attendant de l'améliorer je le mets là :
Transurfing, "surfer à travers la réalité" c’est la méthode pour choisir son propre destin.
Fondements de la théorie
Toute théorie n’est rien
d’autre qu’un fragment de la manifestation de ce qui est notre réalité aux
multiples facettes.
Ceux qui pensent que le destin est prédéterminé
ont le comportement d’un bateau balancé par les vagues de la mer.
Ceux qui pensent façonner leur destinée prennent les commandes du bateau.
"Notre choix se transforme
toujours en réalité. Nous obtenons toujours ce que nous choisissons. Quelque
soit la vision du monde que nous adoptons, ce sera toujours la bonne. Toutefois
soyez bien conscient que les autres ne seront pas d’accord et qu’ils
s’opposeront à vous, parce que tout simplement, ils ont aussi raison, quelque
soit la vision du monde qu’ils adoptent."
Chaque chose tangible se
compose à partir d’une énergie intangible.
On retrouve la théorie des champs d'Emile Pinel (cf. ici).
On retrouve la théorie des champs d'Emile Pinel (cf. ici).
Pour faire comprendre son concept d'espace des variantes, Zeland utilise une comparaison : une vague dans
la mer. La vague est la manifestation matérielle. La mer est l'espace des variantes. Une molécule d’eau est une variante.
La vague se déplace mais la masse
d’eau reste en place.
La manifestation matérielle (vague) se
déplace dans le temps et l’espace et les variantes (molécules d'eau) restent à leur place et
continuent d’exister à jamais (la mer).
Il utilise une autre comparaison pour ceux qui auraient le mal de mer : un homme avec une lampe dans une forêt pendant la nuit. La lumière est la manifestation matérielle. La forêt est l'espace des variantes. Un arbre est une variante.
La lumière se déplace mais la forêt reste.
La manifestation matérielle (lumière) se déplace dans le temps et l'espace et les variantes (les arbres) restent à leur place (la forêt).
Pour les artistes, on peut penser à un homme dans une galerie d'exposition. L'homme choisit dans quelle salle il entre, quels tableaux il regarde. La galerie et les tableaux sont là et chacun fait son parcours dans l'exposition.
Il utilise une autre comparaison pour ceux qui auraient le mal de mer : un homme avec une lampe dans une forêt pendant la nuit. La lumière est la manifestation matérielle. La forêt est l'espace des variantes. Un arbre est une variante.
La lumière se déplace mais la forêt reste.
La manifestation matérielle (lumière) se déplace dans le temps et l'espace et les variantes (les arbres) restent à leur place (la forêt).
Pour les artistes, on peut penser à un homme dans une galerie d'exposition. L'homme choisit dans quelle salle il entre, quels tableaux il regarde. La galerie et les tableaux sont là et chacun fait son parcours dans l'exposition.
On perçoit le mouvement du temps
en projetant un film. Si on débobine le film on peut regarder toutes les images
en même temps. Le temps reste statique jusqu’au moment où nous regardons de
façon séquentielle une image après l’autre.
Hypothèse de base : "Les
radiations de l’énergie mentale matérialisent une variante potentielle.
L’énergie mentale d’une
personne n’est pas enfermée dans la boite crânienne de cette personne pour y
circuler sans but. Au contraire elle se disperse dans l’espace où elle
interagit avec les champs énergétiques (je dirais informationnels)
environnants."
Les ondes mentales ont leur
fréquence pour paramètre.
Par résonance, nos ondes mentales
s’engouffrent dans un secteur de l’espace des variantes et c’est ce secteur qui
se matérialise.
Quand on pense à une chose, en
bien ou en mal, nos ondes mentales résonnent avec ce secteur de l’espace des
variantes et ces variantes se matérialisent.
Nous sommes sur une ligne de vie
tant que notre attitude reste inchangée. Si notre attitude envers la réalité
évolue alors nous changeons de ligne de vie. Si nous n’aimons pas ce secteur et
nous battons contre ses obstacles alors nous restons sur une ligne de vie
remplie d’obstacles. On ne peut pas modifier un scénario, on ne peut qu’en
choisir un autre.
On ne peut pas changer l’expo si
elle nous déplait mais on peut changer de salle.
Si on pense qu’il n’y a pas de
salles qui nous plaisent davantage c’est une fausse limite.
Difficulté : comment faire
pour choisir la salle ?
Il ne suffit pas de rêver d’une
salle parfaite. Faire un choix n’est pas désirer.
Les balanciers
Un balancier est une structure
énergétique informée formée par les ondes mentales de toutes les personnes qui
pensent à une même chose.
Exemples de balancier : un
club de volley, la guerre, une entreprise, une association, un parti politique,
la maladie, la pauvreté, une personne…
Quand nos pensées résonnent avec
un balancier, elle l’alimente, que ces pensées soit négatives ou positives.
Un balancier meurt quand il n’est
plus alimenté.
Un autre balancier peut défaire
un balancier. Un homme seul ne peut rien.
Un balancier se nourrit de
l’énergie des pensées des personnes « adhérents » et aussi des
personnes « opposantes ».
Les « adhérents »
adoptent des comportements et des attitudes, dont ils prennent l’habitude, en
accord avec le balancier.
Les balanciers destructeurs sont
en concurrence. Un balancier n’est jamais constructif pour un individu. Par
contre un individu peut être le « préféré » d’un balancier pendant un certain temps. Et un
individu peut participer consciemment à un balancier en vue de ses objectifs.
Nous nourrissons un balancier
quand nous sommes affectés par ce que nous considérons indésirable car nous en
avons peur ou nous le détestons et ces sentiments négatifs font que ces
« indésirables » se manifestent.
Pour que ces
« indésirables » ne fassent plus partie de notre vie, il faut
cesser de nourrir le balancier et pour cela il existe deux solutions :
mettre en échec le balancier ou le désactiver.
Mettre en échec un balancier
Pour mettre en échec un
balancier, il faut refuser de se battre avec lui, de ne pas être en colère
contre lui, de ne rien lui reprocher et accepter les choses comme elles sont,
qu’on l’aime ou non, tel un tableau dans la salle d’expo, sans perdre notre
bonne humeur.Ok, j'ai conscience que cette salle de l'expo existe mais elle ne me plait pas, j'en sors et je n'y pense plus.
Accepter pour reconnaitre le
droit d’exister pour ensuite ignorer, lâcher-prise. Rejeter hors de sa vie ce
dont on ne veut pas. Il faut vider notre relation avec ce balancier.
Si on ignore un enquiquineur, il
posera des problèmes à d’autres. Dans le cas où nous sommes obligés d’écouter
l’enquiquineur, ne faisons que semblant de prendre part au jeu, laissons-le
frapper dans le vide. Comme dans l’Aïkido, accepter la tactique de l’attaquant,
l’accompagner sur un petit bout de chemin en faisant semblant et le laisser
partir en faisant un pas de côté ou en dirigeant son mouvement sans obstacle
dans la direction que nous voulons.
Pour arrêter un balancier
Pour arrêter un balancier, quand
on ne peut ni l’ignorer, ni lui échapper, il faut faire quelque chose qui sort
de l’ordinaire, que l’on attend pas de nous, qui ne va pas dans le sens des
évènements, qui surprenne.
En fait, c’est émettre une
fréquence très différente de celle du balancier et entrer en dissonance pour
casser son rythme.
Il serait absurde de marchander
avec un balancier qui n’a rien à perdre, mieux vaut "donner un peu de cash".
Même fou de rage, il faut réussir
à ne pas répondre aux provocations.
La visualisation aide, on peut
imaginer l’enquiquineur dans un monde où il aurait tout ce dont il a
besoin : santé, confiance, paix…
Résoudre un problème rend plus
fort, confronté à nouveau à ce problème il sera plus facile à résoudre.
Les solutions inattendues et
intuitives arrivent quand on se libère du balancier. Tant que nous
l’alimentons, nous restons prisonniers de l’étroitesse des variantes de son
secteur et ne pouvons entrevoir les solutions.
Notre liberté est de se détacher
des balanciers des autres pour atteindre, en la choisissant une ligne de vie
qui nous mène au bonheur. Nous ne pouvons, ni ne devons, nous libérer de tout
balancier, certains sont bons pour nous, il faut juste en faire un usage
personnel qui nous mène au bonheur sans se mettre sous leur influence.
La vague de succès
La vague de succès est une
structure énergétique qui nous est favorable, c’est une succession de chances,
d’évènements inattendus et plaisants. C’est une accumulation de lignes
favorables dans l’espace des variantes. Les succès s’enchainent si nous sommes
inspirés par le tout premier. Cette vague nous transfère sur une ligne de vie
heureuse. Des balanciers destructeurs peuvent nous éloigner de cette vague.
Effet boomerang
Nourrir des pensées négatives,
des inquiétudes, se plaindre, être pessimiste signifie rejoindre et alimenter
les balanciers destructeurs. C’est une habitude nocive.
Ne plus les alimenter, c’est
nourrir des pensées positives, penser à ce que l’on souhaite obtenir. Plutôt
que détester et mépriser la maison où l’on vit en disant « vivement que
j’en trouve une autre », accepter la situation et voir les points positifs
de cette maison, être reconnaissant, ensuite penser à la maison que l’on veut,
à ce que l’on souhaite avoir dedans, consulter des annonces, visiter des
magasins…
Plutôt que de râler après la pluie et vouloir que le temps soit ensoleillé pour les vacances, accepter le mauvais temps du moment et se visualiser sous le soleil pendant les vacances.
Plutôt que de râler après la pluie et vouloir que le temps soit ensoleillé pour les vacances, accepter le mauvais temps du moment et se visualiser sous le soleil pendant les vacances.
On se retrouve sur la ligne de
vie qui est en résonnance avec nos ondes mentales, qui correspond à la
radiation de notre énergie.
La transmission
Pour faire bon usage des
balanciers qui nous sont utiles, il faut se nourrir de tout ce qui est bon,
positif, plaisant et rassurant, dans tout ce que l’on vit, lit, voit, entend,
il faut regarder les bons signes partout et dans toute chose, sans nourrir de
rancune envers les problèmes et « indésirables » rencontrés. En étant
heureux de notre présent, de notre ligne de vie actuelle, nous surfons sur la
vague du succès et évoluons vers les lignes de vie qui donne de plus en plus de
bonheur car on se déplace sur la ligne de vie qui correspond aux paramètres de
nos pensées.
Ça me fait penser à trois choses :
- Au
rituel d’enregistrer chaque soir tout ce qui a été bon dans la journée et de
remercier la vie (gratitude) et chaque matin, de se souhaiter une bonne journée et de
s’ouvrir à tout ce qu’elle apporte de bon (ouverture).
- à la psychologie Xin Li qui propose comme premier exercice d’inspirer consciemment une chose heureuse au
moins trois fois dans la journée, ce peut être un beau paysage, l’odeur d’une fleur,
la présence d’une personne aimée, des mots gentils… Au début ces choses ne sont
pas forcément évidentes à trouver et puis ça devient automatique et on le fait
sans s’en apercevoir, jusqu’à que ce soit une nouvelle attitude : vivre
pleinement et garder en mémoire tous les bons moments d’une journée.
- au livre « Vivre
sa spiritualité au quotidien », si on n’émet pas de pensées négatives on
ne libère pas d’espace pour en recevoir, si on émet des pensées positives on
libère de l’espace pour en recevoir.
En devenant un récepteur et un transmetteur d’énergie
positive, on glisse de plus en plus facilement vers les lignes de vie heureuse
et quand la vague de succès se présente on se laisse embarquer vers le succès.
Équilibre
Les potentiels en excès
La loi de l’équilibre fait que tout potentiel en
excès subit une force d’équilibrage pour annuler le déséquilibre en éliminant
ce potentiel.
Donner un sens absolument déraisonnable à une
évaluation, accorder trop d’importance à quelque chose crée un potentiel en
excès. C'est-à-dire donner des caractéristiques excessivement négatives ou
excessivement positives à un objet, une situation, une personne et que cela ait
une grande signification pour nous, c'est-à-dire donner de l’importance. Donner
trop d’importance à une chose ou une situation c’est négliger d’autres domaines
de notre vie : par exemple donner beaucoup trop d’importance à son travail
et négliger son temps libre et sa vie de famille.
Insatisfaction et jugement
Il n’y a pas de déséquilibre si notre insatisfaction
nous pousse à nous améliorer.
Il y a potentiel en excès et déséquilibre si on se
complait à nourrir du ressentiment envers soi-même ou si on se punit pour ce
que l’on aime pas.
Il vaut mieux accepter ses défauts et ses faiblesses
et s’aimer soi-même, c’est ainsi que notre subconscient redevient l’alliée de
notre conscience.
Se battre contre ses défauts ou tenter de les
dissimuler demande beaucoup d’énergie et nous attire dans les lignes de vie où
ces défauts sont accentués, si on cesse de le faire alors cette énergie peut
être utiliser dans le développement de nos qualités et on peut évoluer vers des
lignes de vie où nos qualités prédominent sur nos défauts.
Etre insatisfait du monde, c’est entrer en conflit
avec un grand nombre de balanciers.
Une euphorie démesurée crée également un potentiel en
excès.
Par contre, être positif envers soi-même et envers le
monde ne crée pas de potentiel en excès. Au vue des interprétations
spirituelles ou philosophiques, ceci peut s’expliquer par le fait que
l’ « Amour » est la force créatrice est que les forces
d’équilibrage ne peuvent se retourner contre l’ « Amour ».
Il est donc constructif de perdre l’habitude
d’exprimer son insatisfaction et de trouver du bon en chaque chose, et quand
cela est vraiment trop difficile alors on peut se rappeler que « Ceci,
aussi, passera ».
Les relations de dépendance
Idéaliser, vénérer, surestimer
quelque chose ou quelqu’un crée un potentiel en excès. Les forces d’équilibrage
vont faire tomber du piédestal l’objet idéalisé.
Si l’amour tourne en relation de
dépendance, un potentiel en excès est crée.
Quand il y a comparaison entre
deux choses, cela conduit à un conflit et un inconfort émotionnel et il y a
aussi potentiel en excès.
Il est constructif de ne pas
désirer posséder quelqu’un ou quelque chose, de ne pas le surestimer, ne pas
l’idéaliser, de ne pas être dépendant, il est plus sain d’aimer
inconditionnellement et sans attente, sans droit de possession, d’aimer tout
simplement sans essayer d’être aimé. Néanmoins quand on aime, il est bien
difficile de raisonner logiquement et de suivre ces recommandations…
Mépris et vanité
Condamner, avoir une estime de
soi surfaite, mépriser les faiblesses des autres ou devenir vaniteux crée un
potentiel en excès.
Supériorité et infériorité
Se comparer en supériorité ou
infériorité crée un potentiel en excès.
Il vaut mieux diriger son
intention dans le développement de nos qualités sans se soucier de notre
position sur le barème de la supériorité. Conséquence : moins de problèmes
et plus de confiance en notre propre puissance.
Il est préférable d'éliminer toute
pensée de vouloir contrôler ou manipuler le monde et choisir son destin sans
marcher sur les pieds des autres.
Si on se sous-estime, si on se
bat avec ses complexes, les conséquences obtenues par les forces d’équilibrage
sont plus déplaisantes que le complexe lui-même. Exemple : quelqu’un qui
se sous-estime peut passer pour un prétentieux en cherchant à montrer ses
meilleurs côtés.
Il vaut mieux compenser ses
défauts avec d’autres qualités.
Le désir d’avoir et de ne pas avoir
Vouloir tellement quelque chose
au point de risquer tout ce qu’on a pour l’obtenir crée un gros potentiel en
excès.
Il y a trois formes de
désir :
Un désir qui se transforme en une
forte et pure intention d’avoir et d’agir dénuée d’une importance excessive à
désir satisfait car l’énergie est consacrée à la réalisation de l’action.
Un désir inactif et tourmenté à
gaspille l’énergie ou attire des problèmes car potentiel en excès.
Un désir qui devient une
dépendance envers l’objet désiré à épuisement d’avoir essayé de posséder et
renoncement.
Culpabilité
Se sentir coupable entraîne une
peur d’être puni et un scénario punitif.
Il vaut mieux se comporter de
manière à ne pas se sentir coupable par la suite, ne pas se justifier face à
qui que ce soit car nous ne devons rien à personne. Si on est fautif alors on
répare, on demande pardon, une seule fois suffit à se libérer du potentiel en
excès, mais on ne culpabilise pas.
Les manipulateurs obtiennent du
pouvoir en faisant culpabiliser pour renforcer leur propre position, ils
agissent par excès de doutes, d’incertitudes et manque d’assurance.
Personne n’ose nous juger si nous
ne nous sentons pas coupables, il faut retrouver le droit d’être soi-même.
Ça me fait penser au juge intérieur des 4
accords toltèques qu’il faut renvoyer bouler !
L’argent
L’argent est un attribut
complémentaire sur le chemin de notre but.
Il est bon d’être heureux d’en
avoir, de se satisfaire de ce qu’on a, ne pas rejeter son désir d’en avoir,
poursuivre ses propres objectifs et voir l’argent comme un moyen d’atteindre
ses buts. Il vaut mieux penser aux objectifs en eux-mêmes et non à l’argent, ne
pas ignorer l’argent et le traiter soigneusement.
Il est préférable de ne pas se plaindre de ne pas en
avoir ou d’en avoir dépensé, de ne pas être anxieux d’en avoir de moins en
moins, de ne pas tomber sous la dépendance de l’argent ou en faire un objectif,
regretter une dépense, laisser s’accumuler et dormir l’argent.
La perfection
Il est vain de vouloir que tout
soit parfait, il suffit de vouloir faire de son mieux
Le perfectionniste se donne le
droit de juger et condamner les autres, il pense avoir raison sur tout et
savoir comment les autres doivent se comporter, penser.
L’importance
Tout potentiel en excès découle
d’une importance excessive. Rester vigilant à ne pas donner trop d’importance
permet de rester indépendant des balanciers. Cela ne signifie pas combattre ses
émotions. Les émotions proviennent des attitudes, c’est en changeant les
attitudes que les émotions et les sentiments changent. Cela ne signifie pas
être indifférent mais ne pas transformer une situation en problème et ainsi se
torturer soi-même et ses proches.
Faire un choix est possible si on
ne gaspille pas son énergie à combattre avec les balanciers et les forces
d’équilibrage. Faire un choix c’est savoir quel est notre objectif.
La seule manière de pouvoir faire
des choix est de se débarrasser des importances excessives en se détachant de
l’objet auquel nous avons accordé une telle signification. Il ne s’agit pas de
surmonter les obstacles mais de réduire leur importance. Là encore, c’est le
changement d’attitude et non le refoulement des émotions et des sentiments qui vont permettre de réduire cette importance.
Attention il ne s’agit pas non plus de négligence, qui est de l’importance avec
un signe moins. Il ne s’agit pas non plus de se résigner, plutôt de s’offrir le
luxe d’être soi-même, sans minimiser ou exalter défauts et qualités. Pour
réduire la peur, prévoir un plan de sécurité.
L’humour est un très bon outil,
c’est une caricature de l’importance.
L’autodérision aide à gagner
confiance en soi, on prend du recul, on grossit les défauts, les problèmes et
on en rigole.
Face à un problème, diminuer son
importance en réalisant qu’il est lui-même le résultat d’un excès d’importance,
secouer les désillusions puis changer d’attitude face à l’objet en question.
Recette du succès :
spontanéité, improvisation, attitude légère.
Se faire du souci sans agir
augmente l’importance. Ne pas penser mais agir et s’il est impossible d’agir
alors ne plus y penser en dirigeant son attention sur autre chose.
Pour être efficace, focaliser son
attention sur le processus plutôt que sur soi ou sur le résultat dont on peine
à réduire l’importance.
C’est l’intention qui vient de
l’âme (du subconscient) qui se réalise.
Dans tous les cas, ne pas se
vanter de ce qu’on a, est ou fait.
Si on est dans une situation très
compliquée, il y a toujours une issue.
Attention pas de démesure dans
l’autre sens non plus, on peut perturber un peu l’équilibre tant qu’on abuse
pas. Il ne s’agit pas d’être parfait.
Etre attentif sans s’inquiéter.
Transition induite
Pire nous considérons le monde,
pire il devient.
Répondre négativement à un
évènement implique le transfert vers une ligne de vie négative.
Accorder de l’importance aux
catastrophes (accidents, épidémies, chômage, pauvreté…) induit l’introduction
d’un évènement négatif dans la vie de la personne.
Réagir avec mécontentement et
insatisfaction induit que la situation s’empire.
Solution : Ne pas laisser
entrer d’informations négatives, c'est-à-dire les ignorer intentionnellement et
non les éviter, ne pas s’y intéresser.
Le courant des variantes
Les données du champ
d’information sont la vérité, de l’information objective, libre de toute
interprétation.
Notre subconscient a accès au
champ d’information, c’est l’intuition.
Notre conscience a accès au champ
d’information en interprétant les données externes.
Quand elle passe par le filtre de
notre esprit l’information devient connaissance.
Une inspiration est une
information recueillie dans le champ par notre subconscient. L’esprit s’occupe
de la réalisation en analysant les données reçues par le subconscient mais
n’invente rien de nouveau.
Par le subconscient, nous pouvons
accéder au champ d’information : clairvoyance, prémonition, retrouver des
faits passés, visions…
Notre conscience peut écouter
notre subconscient, mais nous n’apprenons pas à développer notre intuition car
dans notre société nous nions le subconscient et donnons trop d’importance à
l’esprit. Notre éducation développe davantage le cerveau gauche, aux dépends du
cerveau droit.
Quand l’esprit expérimente une
chose nouvelle, il ne la comprend pas, il ne peut l’identifier, il sait juste
que c’est réél.
L’esprit met des définitions, des
étiquettes.
Pour recevoir l’intuition il faut
que le contrôle de l’esprit s’affaiblisse, il faut que les pensées se taisent.
On peur percevoir des sensations instinctives de paix ou d’inconfort car notre
subconscient sait si un choix est bon pour nous ou pas.
L’âme ne pense pas, elle ressent
et sait, elle ne commet pas d’erreur.
L’esprit doit écouter l’âme pour
prendre une décision.
Trois profils :
Le demandeur : personne qui
remet son destin dans les mains d’autrui et demande ce qu’il veut. Il est
résigné, n’agit et n’obtiendra pas ce qu’il veut. Il se place dans les mains
des manipulateurs.
L’offensé : il manifeste son
insatisfaction et exige ce qu’il veut. Il ne l’obtient pas non plus.
Demandeur et offensé vont avec le
courant de la vie.(courant = enchaînement des causes et effets)
Le guerrier : sa vie est un
combat qui demande beaucoup d’énergie, il obtient parfois ce qu’il veut mais
péniblement.
Le guerrier remonte le courant.
Solution : aller et prendre
Aller avec le courant tout en
tenant la barre avec calme vers le cap de nos objectifs en évitant les zones
dangereuses.
- choisir la direction du courant = nos objectifs
- avoir confiance dans le courant et ne pas faire de mouvements brusques.
- rejeter l’importance interne et externe pour ne pas être pris par les balanciers et ne pas créer de potentiel en excès.
- ne pas se perdre dans l’intellect pour trouver des solutions complexes, suivre le courant car il prend le chemin le moins couteux en énergie, celui qui présente le moins de résistance, bref le chemin le plus simple et le plus facile. La conscience, seule, ne peut faire ce choix là car son raisonnement logique ne concorde pas forcément avec la chaîne des causes à effets du courant.
- voir les signes indicateurs (phrases spontanées d’autrui, inconfort interne..) qui indiquent un virage possible, c'est-à-dire quand un transfert vers une autre ligne de vie est mis en œuvre, questionner le signe : est-il positif ou négatif ? prendre garde, être attentif sans s’inquiéter ni chercher des signes partout.
- refuser les désirs qui évoquent de l’inconfort, du doute, de l’appréhension ou de la culpabilité.
"Quand notre âme dit oui, nous n’avons pas à nous persuader de quoi que
ce soit."
Le
bon sens est utile mais l’esprit fait l’erreur de s’y limiter et cela l’empêche
d’observer ce qui n’est pas en accord avec ses règles.
Lâcher-prise
sur la situation : baisser le contrôle, ne pas vouloir tout résoudre, tout
calculer à l’avance, donner plus de liberté d’action au monde qui nous entoure,
laisser place à l’imprévu.
"L’esprit doit contrôler ses propres mouvements dans le courant mais pas
le courant lui-même." "L’esprit doit contrôler le niveau d’importance."
Intéressant, j'ai lu 3 tomes. Mais j'aime lire des commentaires sur Transurfing que je trouve géniale.
RépondreSupprimerEn plein dans le tome 2... juste passionnant de vérité
RépondreSupprimermerci pour ce joli travail, je n'ai encore rien lu, mais ça me donne envie !
RépondreSupprimerBonjour
RépondreSupprimerMerci pour ce magnifique condensé du tome 1 que j'ai lu
j'aime lire tout ce qui peu m'aider à mieux m’imprégner de transurfing
je commence le tome 2 et je suis très motivé car je trouve que c'est bien expliqué
Merci pour ces points clé du tome 1. J'ai prêté ce livre et je vous suis reconnaissante de me permettre de me les remémorer car je viens de commencer la lecture du troisième.
SupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerBeau résumé et clair. Dommage que tous les termes utilisés tels que âme, conscience, esprit, intuition soient des interprétations très limitées au sujet et relatives au "transurfing" et qu'elles soient en très grande opposition parfois avec les philosophies pratiques traditionnelles telles que celle du védantisme.
RépondreSupprimerUn exemple: le mot conscience qui de la neurobioogie à la métaphysique peut trouver des dizaines d'interprétations rien qu'en français. Faut pas demander alors si on parle de "conscience" sur un plan plus global ou plus universel.
De même pour les mots: "intuition" ou "subconscient", aujourd'hui considéré comme étant bien plus conscient que l'"esprit".
Que dire encore sinon que le mental est mouvement et que dans les textes traduits par Masselot, le mental est considéré un jour oui, un jour non, comme la pensée intellectuelle. Un protozoaire possède un mental et il pense à sa façon sans pour autant être intellectuel. En tout cas, c'est un beau rappel du comportement du guerrier pour ceux qui n'auraient pas lu Carlos Castaneda, et c'est aussi finalement, tout comme pour les théories castanediennes, même mises en pratique, un fameux BALANCIER.
La liberté n'est ni ici ni ailleurs, mais entre les deux est son chemin.
Je suis bien d'accord qu'il n'est pas aisé de comprendre ou se recoupent ce qui est désigné par les mots âme, esprit, mental, intellect, intuition, conscience, subconscient, inconscient d'un auteur à l'autre...
SupprimerMerci pour ce résumé du ''Transurfing''. Je viens tout juste de connaître ce concept qui me semble emballant!! Je lirai certainement les livres. Merci pour votre travail à ce sujet :)
RépondreSupprimer